Philippe Faucon, confirme son talent avec son dernier film, Fatima.
Un film "sacrement" délicat. Un film resserré (1h19) fait sans
spectaculaire mais un portrait de femme dans son quotidien bouleversent.
Inspiré du recueil de Fatima Elayoubi, "Prière à la lune" (Bachari,
2006), ce long métrage, fait d'une multitude de petites touches, dessine
la vie (extra)ordinaire de toutes ces personnes invisibles.
Le second volet du Labyrinthe séduit toujours.Ce dernier
nous sert une belle intrigue et ne tombe pas dans les pièges suivis par
de nombreux films de ce type.
Efficace, trépidant et bien rythmé!
Petites casseroles est un film tout doux composé de
plusieurs courts métrages. Ces derniers ont comme thématique: L'enfance,
une aventure au quotidien... Ils sont variés dans leur forme et dans
leur fond et tous de qualité.
A partir de 3 ans.
Les plus petits d'entre nous ont aussi le droit de regarder des films d'actions! Venez découvrir en SORTIE NATIONALE, la course du siècle.
Un film d'une heure qui nous fera suivre le Petit Corbeau Chaussette
dans une course de voiture pour sauver tous les animaux de la forêt. A partir de 4 ans.
Un film très actuel (et qui fait lien avec nos événements de la Semaine de la Solidarité Internationale), La glace et le ciel offre un témoignage important sur le réchauffement climatique et la catastrophe écologique qui menace. De plus, le film est magnifique, mélangeant images d'archives et de prises de vues actuelles.
Un beau voyage sur notre magnifique planète terre.
Spécial Halloween: Massacre à la tronçonneuse (l'original bien sur!) en version française.
Un film de Woody Allen est à la fois un rendez vous régulier (il en sort un par an) et toujours un événement. Surtout que l'homme irrationnel renoue avec la veine noir du réalisateur... En effet, commençant comme une comédie universitaire efficace et spirituelle emmenée par un séduisant duo d'acteurs, le film prend peu à peu un virage vers une noirceur cynique très jouissive!
Quel bonheur de voir ce cinéaste toujours aussi inventif. Qu'il s'agisse
du scénario, qu'il a écrit, de la réalisation, qu'il assume, quel
talent ! "L'Homme irrationnel" est une perle.
(CultureBox)
Jean-Paul Rappeneau (83 ans) signe avec son dernier film
(12 ans après le précédant) une comédie sophistiquée. Mélangeant sujets
actuels (famille, couple), il propose une réflexion profonde sur ces
derniers sans jamais oublié le rire et le style! Le tout servis par
d'excellents acteurs: d’André Dussollier à Marine Vacth en passant par
Gilles Lellouche et Karin Viard.
Nos amis Belle et Sébastien sont de retour dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater 2 avant-premières
exceptionnelles!
Dimanche 01 novembre 17h30
Mercredi 11 novembre 17h30
Mon roi, le nouveau film de Maiween (Polisse), déploie une énergie rare... La réalisatrice y raconte la passion destructrice d'une jeune femme pour un mauvais garçon. Les acteurs participent beaucoup à cette sensation d'intensité, Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sont impressionnants.
Un film tellement ancré dans le quotidien et pourtant si sensible.
Venez vous faire peur avec un film culte et terrifiant...
Popcorn offert!
“Massacre à la tronçonneuse” : 8 raisons de revoir ce chef-d’œuvre de l’horreur
Il
y a quarante ans, le réalisateur Tobe Hooper inventait un nouveau genre
de film d'horreur, le “slasher”. A Cannes, la Quinzaine des
réalisateurs a eu la bonne idée de fêter cet anniversaire en projetant
une version restaurée du cultissime et éprouvant “Massacre à la
tronçonneuse”, en attendant une ressortie en salles en octobre.
C'est sans doute le plus grand film
d'horreur de l'histoire du cinéma. Et le plus controversé. Une oeuvre
profonde et viscérale pour les uns, un film gore et nauséabond pour les
autres. Quarante ans après, l'expérience est toujours aussi éprouvante
et les spectateurs de Massacre à la tronçonneuse, irréconciliables. Le réalisateur danois Nicolas Winding Refn, qui l'a découvert à 14 ans, ne s'en est jamais remis : « J'ai eu un choc esthétique comparable à celui qu'ont connu mes parents devant A bout de souffle, en 1960. Pour la première fois, un film m'apparaissait comme une véritable œuvre d'art. »nous disait-il en 2010.
Pourquoi cette histoire de jeunes gens tombés dans les griffes d'une
famille de cannibales texans continue-t-elle de fasciner autant les
cinéphiles ? Qu'est-ce qui différencie ce film d'épouvante des centaines
d'autres tournés avant et après lui ? Voici huit raisons pour expliquer
le culte.
Un calvaire inspiré de faits réels
« Le film que vous allez voir relate la tragédie que vécut un
groupe de cinq jeunes gens, en particulier Sally Hardesty et son frère
invalide Franklin. (…) Pour eux, une balade par un après-midi d'été
idyllique devint un cauchemar. Les événements de cette journée devaient
mener à la découverte de l'un des crimes les plus bizarres des annales
de l'histoire américaine, The Texas Chainsaw Massacre. » Le film de Tobe Hooper s'ouvre
par ce carton qui prétend que le calvaire vécu par Sally Hardesty et
ses amis est bien réel. Ce qui deviendra par la suite une convention
dans le genre, pour foutre encore plus les jetons. En réalité, le
personnage de Leatherface s'inspire d'Ed Gein, « le boucher du
Wisconsin », profanateur de tombes et meurtrier de femmes, arrêté en
1957, qui décorait sa maison des restes de ses victimes. Ce tueur en
série servit aussi de modèle à d'autres cinéastes, notamment à Hitchcock
pour Psychose et à Jonathan Demme pour Le Silence des agneaux.
Un tournage infernal
« C'est malsain. Nous travaillons sur un film malsain et nous
devenons malades. Nous avons tous un sentiment de dégoût par rapport à
nous-mêmes. » Dottie Pearl, la maquilleuse, a été, comme toute
l'équipe, traumatisée par les six éprouvantes semaines de tournage. Dans
la ferme isolée près de la ville de Round Rock, Texas, au plus chaud de
l'été 1973, les températures dépassent les 40 degrés tous les jours,
avec 98 % d'humidité. Un soleil brûlant, des insectes, des moustiques,
des fourmis, un seul WC pour quarante personnes... Faute d'argent, une
douzaine de techniciens effectuent le travail de cinquante. Avec parfois
des journées de vingt-deux heures de tournage d'affilée et un seul
repas. Sans parler de la puanteur des os et des peaux en décomposition
qui décoraient la maison du tueur. Les relations entre les acteurs
furent exécrables. Gunnar Hansen, qui interprète Leatherface, avait
décidé de ne jamais adresser la parole aux autres afin de conserver son
aura. Pour conditionner les acteurs et entretenir cette atmosphère de
violence et de peur, Tobe Hooper hurlait entre les prises, brisait des
objets comme sous l'emprise d'une colère permanente. Couverte de plaies,
l'actrice principale a frôlé la dépression. Et ne retournera quasiment
plus aucun film.
Le parrain des slashers
Même si certains font démarrer le genre en 1960 avec Psychose, c'est véritablement le film de Tobe Hooper qui donnera à ce sous-genre du film d'horreur ses lettres de noblesse. Dans un slasher (to slash
: taillader), un tueur psychopathe réduit à néant le casting à l'aide
d'une arme tranchante : couteau, machette, ciseau à bois ou
tronçonneuse. Et sa dernière victime est souvent une jeune femme à
moitié nue. Les bases du slasher sont donc posées par Massacre, avant d'être copiées, parodiées et finalement épuisées par des générations de cinéastes plus ou moins doués. Wes Craven (Freddy, Scream) et John Carpenter (Halloween) font également partie des pionniers.
La touche expérimentale sous la série B
Jeune diplômé de l'Université du Texas, Tobe Hooper n'a que 28 ans lorsqu'il entreprend le tournage de Massacre à la tronçonneuse. Mais déjà dix ans d'expérience de monteur et de chef opérateur pour la télévision et un film expérimental à son actif, Eggshells,
succession d'effets visuels psychédéliques simulant un trip sous LSD.
C'est donc un excellent technicien doublé d'un grand cinéphile (il
apprécie aussi bien Minnelli que Stan Brakhage) qui, face à l'échec de
son premier long métrage, décide de réaliser un film de genre mais ultra
travaillé. De façon à séduire le public mais sans renier son style. La
scène d'ouverture, alternance de gros plans tantôt lumineux tantôt
charbonneux sur des cadavres en lambeaux affiche d'emblée une ambition
inhabituelle dans un film d'horreur.
Une sortie chamboulée par des aléas de production et la censure
Après avoir essuyé de nombreux refus de la part de distributeurs
effrayés par la violence malsaine du film, la production vend les droits
de Massacre au richissime producteur de Gorge Profonde.
Ce qui permet d'enfin payer les techniciens et les acteurs. Le film
sort en 1974 et engrangera 600 000 dollars de recettes en quatre jours
et vingt millions de dollars en deux ans. Mais le producteur s'évanouit
dans la nature avec l'argent. Une guerre judiciaire de plusieurs années
s'engage. Ce n'est qu'en 1981 que le film rapportera enfin de l'argent à
ceux qui l'ont conçu. Bien qu'il ait obtenu le prix de la critique au
Festival du film fantastique d'Avoriaz en 1976, Massacre, jugé
trop sadique par la commission de contrôle, ne sortira définitivement en
France qu'en mai 1982, avec une interdiction aux moins de 18 ans.
D'autres pays se montrent encore plus sévères avec le film, qui ne sort
en Finlande qu'en 1996 et trois ans plus tard au Royaume-Uni.
Un western dégénéré
Avec sa musique country, son shérif à chapeau de cowboy, ses
abattoirs fermés, ses adolescents transformés en bétail, sa maison
abandonnée et le Texas pour décor, Massacre est hanté par le
souvenir de l'Amérique des pionniers. On imagine très bien les ancêtres
de Leatherface convoyant les troupeaux et marquant au fer leurs bêtes.
Sally, l'héroïne kidnappée par les rednecks cannibales renvoie à Debbie,
la jeune fille enlevée par les Indiens dans La Prisonnière du désert, de John Ford. Sauf que John Wayne n'est plus là pour venir la sauver.
Une critique sévère de l'Amérique des années 70
Leatherface, le rejeton tronçonneur d'une famille de bouchers texans
au chômage a été perçu, en 1974, comme le symbole d'une société malade
qui envoyait sa jeunesse se faire massacrer au Vietnam. Comme la plupart
des grands films de cette prolifique décennie, Massacre expose
l'envers du rêve américain et dénonce le pourrissement des
institutions, qui a commencé avec les assassinats politiques des années
60 (Kennedy, King) et s'achève par le scandale du Watergate. Dans la
première scène, on y déterre des cadavres au cimetière : c'est le passé
génocidaire de l'Amérique qui ressurgit. Film d'horreur ou pas, Massacre est à ranger du Délivrance, de Boorman ou du Taxi Driver, de Scorsese.
Tobe Hooper, l'homme d'un seul film
La créateur de Massacre ne s'est jamais vraiment remis du
succès de son chef-d'oeuvre. Aucun de ses films suivants ne lui arrive à
la rotule. En 1976, avec la même équipe, il tourneLe Crocodile de la mort, variation gore sur le Psychose d'Hitchcock
avec motel, propriétaire toqué et crocodile pour faire disparaître les
clients imprudents. En 1982, Spielberg co-écrit et produit son décevant Poltergeist.
Dans les années 80, sous contrat avec la Cannon Films, Hooper se
spécialise dans les remakes et les suites de films d'exploitation sans
grand intérêt (dont Massacre à la tronçonneuse 2).
Aujourd'hui âgé de 71 ans, il continue à réaliser des films d'horreur.
Sans trop y croire. Et il voyage dans le monde entier pour présenter Massacre, qui ressortira en France en version restaurée le 30 octobre.
Le film a fait beaucoup parlé de lui (malheureusement moins pour le film lui
même que du sujet et des réactions extrémistes qu'il a déclenché).
Abordant la prostitution au Maroc, Much Loved mélange
portrait d'un groupe de femmes, étude de mœurs et drame social avec une
approche sensible (comme rarement on la voit). La pellicule est irradié
de force et de joie de vie mais aussi de rage et de violence.
D'une densité rare.
Dans le cadre de la Semaine Bleue, Le Savoie vous propose d'assister
à une séance ouverte à tous autour du documentaire Les
Optimistes et d'un temps de présentation de supports de lecture
adaptés aux séniors, proposé par la bibliothèque municipale de
St-Michel-de-Mnne.
Mardi 20 octobre - 15h00
"Les Optimistes" est le nom d'une équipe de volley norvégienne
hors du commun : les joueuses ont entre 66 et 98 ans !Elles se
préparent pour affronter leurs homologues masculins...
Grosse sortie en perspective: Les nouvelles aventures d'Aladin ont été lancées en grande pompe! Le film est une relecture contemporaine du mythe d'Aladin avec comme duo de tête Kev Adams et William Lebghil. Ces derniers en font beaucoup pour notre plus grand plaisir...
Le divertissement familial et de vacances par excellence!
Fidèle au premier opus, Hotel Transylvania 2 fait marcher nos zygomatiques (et pas qu'un peu!). On retrouve toutes les créatures, de Frankenstein à la Momie ainsi que quelques nouvelles avec le plus grand bonheur. Bref, toujours aussi déjanté et drôle A partir de 6 ans.
Jean-Paul Rappeneau(83 ans) signe avec son dernier film (12 ans après le précédant) une comédie sophistiquée. Mélangeant sujets actuels (famille, couple), il propose une réflexion profonde sur ces derniers sans jamais oublié le rire et le style! Le tout servis par d'excellents acteurs: d’André Dussollier à Marine Vacth en passant par Gilles Lellouche et Karin Viard.
Le second volet du Labyrinthe séduit toujours.Ce dernier nous sert une belle intrigue et ne tombe pas dans les pièges suivis par de nombreux films de ce type.
Efficace, trépidant et bien rythmé!
Philippe Faucon, confirme son talent avec son dernier film, Fatima. Un film "sacrement" délicat. Un film resserré (1h19) fait sans spectaculaire mais un portrait de femme dans son quotidien bouleversent. Inspiré du recueil de Fatima Elayoubi, "Prière à la lune" (Bachari, 2006), ce long métrage, fait d'une multitude de petites touches, dessine la vie (extra)ordinaire de toutes ces personnes invisibles.
"Il y a, dans ce tableau mère-fille illuminé par la présence de Soria
Zeroual, quelque chose d'universel, traité avec finesse et sensibilité." (OuestFrance)
Les plus petits d'entre nous ont aussi le droit de regarder des films d'actions! Venez découvrir en SORTIE NATIONALE, la course du siècle. Un film d'une heure qui nous fera suivre le Petit Corbeau Chaussette dans une course de voiture pour sauver tous les animaux de la forêt. A partir de 4 ans.
Dans le cadre de la Semaine Bleue, Le Savoie vous propose d'assister
à une séance ouverte à tous autour du documentaire Les
Optimistes et d'un temps de présentation de supports de lecture
adaptés aux séniors, proposé par la bibliothèque municipale de
St-Michel-de-Mnne.
"Les Optimistes" est le nom d'une équipe de volley norvégienne
hors du commun : les joueuses ont entre 66 et 98 ans !Elles se
préparent pour affronter leurs homologues masculins...
Avec ce que nous vous dévoilons comme très bons spectacles, il
n'y a pas à hésiter, il faut prendre la carte d'adhésion!
Elle coute 11€ et vous donne le droit au tarif adhérent sur
chaque date de la saison culturelle ainsi qu'une place de cinéma
offerte (le calcul est vite fait!).
De plus elle est un soutien important pour l'association. N'hésitez plus, rejoignez
nous!!!
** "TOM PRINICPATO & PAUL COX ensemble sur scène" Concert de Blues Samedi 7 Novembre 2015- 20h30 tarifs: 22€/ 17€/10€
Le premier concert de Blues de cette saison et vous connaissez leur réputation! Concert
de Blues exceptionnel et rare en France. Le Savoie accueil avec plaisir
ces deux montres du Blues Américian et Britannique.
Billetterie ouverte à partir du 17 Août 2015 au Savoie de St Michel de Mnne. Réservations conseillées.
Paolo Sorrentino continue à tracer son sillon de films flamboyants (ce qui indispose certains). Il revient avec Youth,
portrait de deux octogénaires (Michael Caine et Harvey Keitel qui sont
magistraux) qui profitent de leurs vacances dans un bel hôtel au pied
des Alpes. Ce dispositif permet au réalisateur d'aborder de nombreux
thèmes (la vieillesse, la beauté, la jeunesse, le cinéma, l’amour, le
désir, le sexe…) de manière drôle et émouvante, le tout accompagné d'une
mise en scène très présente...
Insolite et excentrique.
Véritable film catastrophe prenant place sur le plus haut sommet du monde, Everest mélange
histoire vraie (adaptation du livre de Jon Krakauer) et film d'aventure
avec des paysages et des effets spéciaux à couper le souffle.
Un film à grand spectacle...
Petites casseroles est un film tout doux composé de
plusieurs courts métrages. Ces derniers ont comme thématique: L'enfance,
une aventure au quotidien... Ils sont variés dans leur forme et dans
leur fond et tous de qualité.
A partir de 3 ans.
Aux combats de la Première Guerre mondiale (son contexte), L'Odeur de la mandarine préfère mettre en scène une tout autre bataille: la bataille des sentiments. En effet, Gilles Legrand met en scène une histoire d'amour passionnelle et sensuelle entre deux personnages, un blessé de guerre et une infirmière - magnifiquement interprété par Olivier Gourmet et Georgia Scalliet (une vraie découverte) -, qui surprend à chaque image.
Le film a fait beaucoup parlé de lui (malheureusement moins du film lui même que du sujet et des réactions extrémistes qu'il a déclenché). Abordant la prostitution au Maroc, Much Loved mélange portrait d'un groupe de femmes, étude de mœurs et drame social avec une approche sensible (comme rarement on le voit). La pellicule est irradié de force et de joie de vie mais aussi de rage et de violence de ces personnages en pleine dualité...
D'une densité rare.
"LA SANTÉ PAR LES PLANTES" par la cie du DauphinéThéâtre humour Samedi 17 Octobre 2015 - 20h30- Hors les murs -Ancien Gymnase de St Michel de Mnne. tarifs: 20€/ 18€/ 10€
Le nom de Serge Papagalli dit quelque chose à tout le monde non?! Je pense que vos zygomatiques se souviennent encore de son dernier passage! Serge Papagalli revient en Maurienne et vous propose son dernier spectacle avec toute sa troupe d'excellents comédiens.
Billetterie ouverte à partir du 17 Août 2015 au Savoie de St Michel de Mnne. Réservations conseillées.
La bande annonce le laissait sentir... Marguerite est une
réussite qui met Catherine Frot en avant pour notre plus grand plaisir.
On parle déjà de ce rôle comme l'un des plus grands rôles féminins de
l'année et donc un possible prix au César 2016. Ce portrait de
cantatrice qui chante faux fait la synthèse entre tragédie et comédie le
tout dans une reconstitution de l'époque parfait.
Xavier Giannoli signe ici un vrai spectacle de cinéma, à la fois cruel
et poignant, qui est en même temps une déclaration d'amour à la vie. On
effeuille passionnément cette Marguerite.(LeParisien)
Guy Ritchie (qui a signé quelques films "cultes" pour une génération)
revient avec sa réinterprétation personnelle du film d’espionnage. Agents très spéciauxmélangedonc action, dialogues fantaisistes et charme avec un équilibre difficile à atteindre.
Un film pétillant et élégant.
Petites casseroles est un film tout doux composé de plusieurs courts métrages. Ces derniers ont comme thématique: L'enfance, une aventure au quotidien... Ils sont variés dans leur forme et dans leur fond et tous de qualité.
A partir de 3 ans.
Véritable film catastrophe prenant place sur le plus haut sommet du monde, Everest mélange histoire vraie (adaptation du livre de Jon Krakauer) et film d'aventure avec des paysages et des effets spéciaux à couper le souffle.
Un film à grand spectacle...
Bien que souvent vu, cette histoire familiale où se disputent transmission et retour à des techniques traditionnelles se regarde avec grand plaisir. Premiers crus est un film attachant qui se déroule dans le monde du vin et les très beaux paysages des coteaux bourguignons.
Paolo Sorrentino continue à tracer son sillon de films flamboyants (ce qui indispose certains). Il revient avec Youth, portrait de deux octogénaires (Michael Caine et Harvey Keitel qui sont magistraux) qui profitent de leurs vacances dans un bel hôtel au pied des Alpes. Ce dispositif permet au réalisateur d'aborder de nombreux thèmes (la vieillesse, la beauté, la jeunesse, le cinéma, l’amour, le désir, le sexe…) de manière drôle et émouvante, le tout accompagné d'une mise en scène très présente...
Insolite et excentrique.