Rarement une mise en abyme aura été réalisée de façon aussi subtile que dans Mia Madre,
le dernier film de Nanni Moretti. Mêlant vie professionnelle et vie
privée, il crée un des plus beaux films de cette fin d'année porté par
deux acteurs magnifiques: Margherita Buy (délicate, émouvante) et John
Turturro (exubérant, hilarant).
Les studios Pixar reviennent (très rapidement après l'excellent Vice-Versa) avec leur dernier film: Le voyage d'Arlo. Ce dernier est un voyage initiatique parfait pour les plus jeunes d'entre nous qui se laisseront rapidement gagner par une animation à couper le souffle, des personnages attendrissants et drôles et une jolie fable autour des notions de courage, d'ouverture à l'autre et de solidarité.
Suite au succès du premier opus, on s'attendait à revoir la joyeuse bande! Babysitting 2 arrive sur nos écrans et cette fois-ci ils vont au brésil. Et bien sur tout se détraque!
Humour potache quand tu nous tiens...
Deux jolies histoires, pleine de la magie de Noël, pour enchanter les plus petits d'entre nous: Une Surprise pour Noël. Venez vivre les aventures d'Andrew, de Sofia et de leurs chiens husky...
Claude Lelouch est de retour et à son plus haut niveau. Un + Une est une très bonne comédie romantique animée d'un souffle de nouveauté et d'un dynamisme qui fait plaisir à voir. Cette énergie n'est pas étrangère au couple joué par Elsa Zylberstein et Jean Dujardin qui prennent visiblement un grand plaisir à être devant la caméra. Enfin, Lelouch ose beaucoup dans sa mise en scène (et cela fonctionne).
Nos amis Belle et Sébastien sont de retours dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas les rater!
A première vue, ce film qui nous vient d’Islande réunit toutes les caractéristiques que l'on pourrait associer à ce pays: montagnes, neige, froid, pull islandais, moutons et deux frères bougons. Béliers, pourtant, nous réchauffe petit à petit mélangeant avec beaucoup de franchise et de finesse chronique réaliste, comédie burlesque et tragédie antique.
30 ans après... ils sont de retours! Venez découvrir les toutes
dernières aventures de Star Wars...
J.J. Abrams a réussi "Star Wars - Le Réveil de la Force". Il refait
pour la saga "Star Wars" ce qu’il avait accompli pour "Star Trek" en
2009 : remettre au goût du jour une grande mythologie populaire en
respectant l’esprit des œuvres originales. (20minutes)
Dimanche 27 décembre - 17h00 Venez découvrir la captation de
l'Opéra National de Paris sur votre écran de cinéma.
Un enchantement avec un entracte agrémenté d'une coupe de bulles!
Le pont des espions est un film directement lié à la tradition cinématographique américaine que Steven Spielberg et Tom Hanks représentent, mais aussi un film moderne de par la vision du monde qu'il présente. Ce qui est sur, c'est que ce film d'espionnage est captivant et passionnant, mêlant grande Histoire vue à hauteur d'homme.
Venez découvrir la captation de
l'Opéra National de Paris sur votre écran de cinéma.
Un enchantement avec un entracte agrémenté d'une coupe de bulles!
Ballet des ballets »,
La Belle au bois dormant demeure un des joyaux du
patrimoine de la danse. Virtuosité, somptuosité des décors et
costumes recréent la splendeur de l’un des plus brillants
chefs-d’œuvre du répertoire. Tarif unique: 12 euros. Pour en savoir plus: - présentation du spectacle
Les frères Larrieu reviennent et quel retour! 21 nuits avec Pattie a,
à peu près, tous les ingrédieux de la comédie parfaite: des acteurs
jubilatoires, une liberté de ton et une fantaisie qui pousse le bouchon
bien loin, enfin et surtout un film qui fait du langage (et donc une
écriture par derrière) un acte libérateur.
"Solaire et désopilant, le nouveau film des frères Larrieu est un
bonheur inattendu, une comédie gentiment crue et farfelue."
(LeJournalDuDimanche)
Nos amis Belle et Sébastien sont de retours dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater la SORTIE NATIONALE le mercredi 09 décembre!
On vous l'annonce: Star Wars en sortie nationale dès le 16 décembre au Savoie. Ne le manquez pas on a du batailler fort pour vous l'avoir. Que la force soit avec vous!
Rencontre avec Axel Salvatori-Sinz (réalisateur) des Chebabs de Yarmouk - jeudi 17 décembre - 20h00
Les chebabs ne peuvent obtenir d’asile, faute de
nationalité. Ils s’entêtent à déjouer le sort dans des labyrinthes
de clandestinité à l’instar du cinéaste durant ses tournages. Les
textes qu’ils ont rédigés de leurs mains participent à l’écriture
du film et donnent corps à notre empathie. (L'Humanité)
Programmation de courts métrages pour
tous les ages et tous les goûts. Osez la découverte!
- spécial adolescent le 28/12 à 18h30
- spécial adulte le 19/12 à 19h30
- spécial jeune public le 20/12 à 15h30
Entrée libre.
Éric Judor en est le parrain cette année...<iframe src="https://player.vimeo.com/video/142643086" width="500"
height="281" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen
allowfullscreen></iframe>
Rarement une mise en abyme aura été réalisé de façon aussi subtile que dans Mia Madre, le dernier film de Nanni Moretti. Mêlant vie professionnelle et vie privée, il crée un des plus beaux film de cette fin d'année porté par deux acteurs magnifiques: Margherita Buy (délicate, émouvante) et John Turturro (exubérant, hilarant).
Cinémarmots: Spécial Noël - Dimanche 20 décembre - 16h00
Un rendez-vous à ne pas rater autour d'un très beau film et de son réalisateur qui nous fera le plaisir d'être parmi nous. Un film plus qu'actuel même si "très rapidement après son tournage, le film a rejoint le clan assez fermé
des documentaires veufs de leur sujet, qui ont capturé, parfois sans le
savoir, une réalité déjà disparue au moment où ils se présentent sur
les écrans de cinéma."
Critique Télérama:
C'est beau, un
passeport. Petit carnet de rien mais qui permet tout. Lorsqu'il leur est
donné d'en tenir un entre les mains, Ala'a, Hassan, Samer, Tasneem et
Waed tournent et retournent ce sésame capable d'ouvrir leur horizon, de
les arracher enfin à Yarmouk, gigantesque camp de réfugiés palestiniens
situé dans la banlieue de Damas, en Syrie... Dans ce documentaire tourné
avant la guerre, Axel Salvatori-Sinz ne montre pas de jeunes résistants
préoccupés par la lutte contre l'occupant israélien. Il filme des
jeunes gens au carrefour de leur vie, qui échafaudent des plans pour
repousser l'échéance du service militaire, pour s'ouvrir au monde en
général, au cinéma et au théâtre en particulier. Et qui se mettent à
douter, parfois : et si leur place était à Yarmouk, parmi les leurs ?
Ils discutent, fument, plaisantent, méditent, à moins qu'ils ne
dépriment. Souvent, ils ont le regard dans le vague, perdus dans des
abîmes insondables...
Lorsque le film
s'achève, on a la boule au ventre : on quitte les héros au début des
premiers mouvements populaires en Syrie. Aujourd'hui, leurs appartements
ne sont plus que poussière : le camp a été détruit en grande partie. Et
Hassan a été tué, sans doute torturé à mort par l'armée régulière
syrienne. — Marc Belpois
Autour du film Une surprise pour Noël, venez colorier avec
les doigts en compagnie de Céline Aguettaz et réaliser
votre décoration de Noël.
Chaque enfant repart avec sa décoration.
A partir de 3 ans.
Programmation de courts métrages pour
tous les ages et tous les goûts. Osez la découverte!
- spécial adolescent le 28/12 à 18h30
- spécial adulte le 19/12 à 19h30
- spécial jeune public le 20/12 à 15h30
Entrée libre.
Éric Judor en est le parrain cette année...
<iframe src="https://player.vimeo.com/video/142643086" width="500" height="281" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> Toutes les informations: ici!
25 ans après, Christian Vincent retrouve Fabrice Luchini dans L'hermine.
Prétextant un film de procès, ce dernier s'oriente petit à petit vers
histoire sentimentale délicate et vibrante où se fait jour le portrait
d'un homme ébranlé. Entre une écriture très précise et une très bonne
interprétation, ce film nous charme.
Voici le dernier film d'une "série" qui aura fidélisée et passionnée de nombreuses personnes. Hunger games clôt
le rideau avec un dernier opus au niveau de se que l'on pouvait
attendre d'une telle franchise. Un film sombre avec son lot de scènes
d'action impressionnantes et toujours porté par la charismatique
Jennifer Lawrence.
Nos amis Belle et Sébastien sont de retour dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater la SORTIE NATIONALE le mercredi 09 décembre!
S'éloignant de l'histoire du premier opus et s'orientant plus vers une franchise liée par le même esprit, voici Babysitter 2 qui débarque! Cette fois, l’équipe part au Brésil en vacances et forcemment tout se détraque. Humour potache quand tu nous fait rire...
Comme c'est bientôt Noël, voici déjà un cadeau pour les plus petits d'entre nous: Oups j'ai raté l'arche en SORTIE NATIONALE. Venez suivre les aventure de Dave et son fils Finny, qui appartiennent à la race des Nestrians -de
curieuses et adorables créatures- que personne n'a jugé utile d'inviter à
bord de l'Arche.
Un film bourré d'animaux tous plus droles les uns que les autres.
Les frères Larrieu reviennent et quel retour! 21 nuits avec Pattie a, à peu près, tous les ingrédieux de la comédie parfaite: des acteurs jubilatoires, une liberté de ton et une fantaisie qui pousse le bouchon bien loin, enfin et surtout un film qui fait du langage (et donc une écriture par derrière) un acte libérateur.
"Solaire et désopilant, le nouveau film des frères Larrieu est un bonheur inattendu, une comédie gentiment crue et farfelue." (LeJournalDuDimanche)
On vous l'annonce: Star Wars en sortie nationale dès le 16 décembre au Savoie. Ne le manquez pas on a du batailler fort pour vous l'avoir. Que la force soit avec vous!
Malgré un titre qui laisse à penser à un film politique, Les Anarchistes
se développe plutôt comme un film romantique explorant les tourments et
indécisions d'un homme (Tahar Rahim). Elie Wajeman, le réalisateur,
confirme son talent entre une photo très belle et qui marque (bleue
nuit), des dialogues d'une belle justesse et des acteurs très bien
dirigés.
On ne boude jamais son plaisir de retrouver James Bond. Il
est aussi vrai qu'après "Skyfall" notre exigence est forte. On retrouve
donc Sam Mendes derrière la caméra et Daniel Craig devant. Le premier
offre toujours un grand spectacle mêlé à une réflexion sur le personnage
du héros et donc une certaine autodérision. Quant au second, il endosse
parfaitement le smoking de Bond. Enfin, ne pas oublier les James Bond
girls: Léa Seydoux et Monica Bellucci!
Bref, un James Bond certes en deçà du précédent mais qui reste un très beau et intelligent spectacle.
Disney nature revient avec son dernier opus autour des singes... On ne peut s'empêcher, malgré un documentaire un peu trop scénarisé, de craquer pour cette maman singe et les paysages magnifiques dans lesquels elle évolue.
Un documentaire ludique, pédagogique et visuellement époustouflant.
A partir de 6 ans.
Voici le dernier film d'une "série" qui aura fidélisée et passionnée de nombreuses personnes. Hunger games clôt le rideau avec un dernier opus au niveau de se que l'on pouvait attendre d'une telle franchise. Un film sombre avec son lot de scènes d'action impressionnantes et toujours porté par la charismatique Jennifer Lawrence.
25 ans après, Christian Vincent retrouve Fabrice Luchini dans L'hermine. Prétextant un film de procès, ce dernier s'oriente petit à petit vers histoire sentimentale délicate et vibrante où se fait jour le portrait d'un homme ébranlé. Entre une écriture très précise et une très bonne interprétation, ce film nous charme.
Noël approche et voici le premier film pour les tout petits... Un programme pour fêter joyeusement la venue de l’hiver féerique !
Le film divise beaucoup depuis Cannes... n'est ce pas la meilleur raison de venir le voir et se faire sa propre opinion?
Le fils de Saul ou les camps d'extermination vu à hauteur
d'homme est un film complexe, difficile, tendu mais définitivement un
choc esthétique (on avait rarement vu un procédé filmique fonctionner
aussi fort). Cela personne ne le remet en cause. Les questions qui
restent sont: peut-on filmer « l’inmontrable » ? et dans quel but?
Mardi - 20h00- La demande d'asile en Savoie
Les réalisateurs d’Une vie de chat reviennent avec un superbe dessin animé drôle et touchant.Phantom boy
marie avec bonheur différents éléments: le polar, le fantastique ou
encore le film de super-héros pour notre plus grand bonheur.
A partir de 6 ans.
On ne boude jamais son plaisir de retrouver James Bond. Il est aussi vrai qu'après "Skyfall" notre exigence est forte. On retrouve donc Sam Mendes derrière la caméra et Daniel Craig devant. Le premier offre toujours un grand spectacle mêlé à une réflexion sur le personnage du héros et donc une certaine autodérision. Quant au second, il endosse parfaitement le smoking de Bond. Enfin, ne pas oublier les James Bond girls: Léa Seydoux et Monica Bellucci!
Bref, un James Bond certes en deçà du précédent mais qui reste un très beau et intelligent spectacle.
Malgré un titre qui laisse à penser à un film politique, Les Anarchistes se développe plutôt comme un film romantique explorant les tourments et indécisions d'un homme (Tahar Rahim). Elie Wajeman, le réalisateur, confirme son talent entre une photo très belle et qui marque (bleue nuit), des dialogues d'une belle justesse et des acteurs très bien dirigés.
Nous allons vous évitez toutes les allusions culinaires dans ce court texte! A vif est un film relativement classique mais qui ne manque pas de charme lorsque l'on s'attache aux dialogues qui touchent leur but et aux acteurs, car le casting est quatre étoiles.
Dans le cadre de la
Semaine de la Solidarité Internationale, Le Savoie
vous propose trois dates autour de questions actuelles, pour les
petits comme les grands, pour échanger, s'enrichir et partager
tous ensemble.
Ciné-échanges: la
demande d'asile en Savoie - mardi 24 novembre - 20h00 En partenariat avec l'ACA
de St-Michel-de-Mnne et l'Association
Départementale pour le Développement et la Coordination des
Actions auprès des Étrangers de la Savoie (ADDCAES) 20h00 :
Film-documentaire"La
Forteresse" de F. Melgar (Léopard
d'Or Festival de Locarno en 2008).
21h45 :
échanges avec Dimitri Laheurte de l'Association Départementale
pour le Développement et la Coordination des Actions auprès
des Étrangers de la Savoie.
« En quête de sens » est un projet documentaire qui est né d’un
constat partagé par un nombre croissant de citoyens : notre société
occidentale est malade, prisonnière d’une logique qui engendre plus de
destructions, d’injustices et de frustrations que d’équilibre et de bien
être. L’impératif de rentabilité économique à court terme prend
aujourd’hui le pas sur l’intérêt général en dépit du bon sens. La
logique prédatrice qui s’impose comme la norme, assombrit notre avenir
commun.
Pour sortir de cette impasse ce n’est pas de plus de savoir, de plus
de technologie, ou de croissance dont les hommes ont besoin, mais de
plus de recul, de bon sens, en un mot : de plus de sagesse.
Iceberg en famille, c’est une expédition d’un père et
ses deux fils au Groenland. L’histoire d’un réalisateur, guide de haute
montagne qui, à force d’en parler à ses enfants, a décidé de les emmener
: « là où naissent les Icebergs »…
Kore-Eda revient avec un film sur une de ses thématiques préférées: la famille. Notre petite sœur
nous fait pénétrer dans une petite communauté (3 sœurs recueillent
leur demi-sœur d'un père qui les a abandonné 14 ans auparavant) où loin
du sensationnel on partage leur vie et moments de tous les jours.
Kore-Eda arrive, pourtant et d’emblée, à nous toucher au point que l'on
voudrait immédiatement partager ces moment-là.
Kore-Eda offre un film bouleversant, tout d’élégance et de délicatesse.(LedauphinéLibéré)
Toutes les infos: http://cinesavoie.blogspot.fr/2015/10/conference-avalanche.html
Les réalisateurs d’Une vie de chat reviennent avec un superbe dessin animé drôle et touchant.Phantom boy marie avec bonheur différents éléments: le polar, le fantastique ou encore le film de super-héros pour notre plus grand bonheur. A partir de 6 ans.
Un formidable conte sur le pouvoir du rêve... (Télérama)
En mai fais ce qu'il te plait est un film sincère, juste, basé sur une reconstitution minutieuse. Mettant en scène l'exil forcé des habitants d'un petit village du nord
de la France devant l'invasion allemande, le film déploie une belle tension dramatique autour des personnages incarnés par Olivier Gourmet, Mathilde Seigner et Laurent Gerra.
Du cinéma populaire de qualité!
Jeudi 19 novembre à 19h00: le climat en question!
Le film divise beaucoup depuis Cannes... n'est ce pas la meilleur raison de venir le voir et se faire sa propre opinion?
Le fils de Saul ou les camps d'extermination vu à hauteur d'homme est un film complexe, difficile, tendu mais définitivement un choc esthétique (on avait rarement vu un procédé filmique fonctionner aussi fort). Cela personne ne le remet en cause. Les questions qui restent sont: peut-on filmer « l’inmontrable » ? et dans quel but?
Un film d’une force inouïe, qui trouve la juste manière de filmer l’innommable, en en faisant tout voir sans en rien montrer.(LeDauphiné)
Un film pour les plus petits d'entre nous (2-5 ans) qui présentent plusieurs court-métrages qui proposent une pérégrinations autour d’animaux tout fous. Un ensemble attachant qui contient de belles réussites, pleines de trouvailles graphiques et poétiques.
Elser, un héros ordinaire porte bien son titre et nous met face à un héros méconnu et pourtant essentiel des histoires d'atrocité c'est-à-dire un simple homme qui se met face à la barbarie. Le film est, de plus, un thriller très bien documenté et construit.
Pas d'effets attendus, pas de scènes de torture, juste la noblesse d'un homme debout, face à l'abjection, face à l'inacceptable.(LeNouvelObs)
Seul sur mars est un film qui fait beaucoup parler. En effet, suivant Gravity et Interstellar,
c'est la troisième grosse production de ces dernières années sur
"l'aventure spatiale". Cette fois-ci, Ridley Scott est au commande et
Matt Damon en est l'interprète principal. Ce dernier interprète, avec
brio et optimiste, une sorte de Robinson Crusoé de l'espace. On se
laisse alors embarquer à suivre ses aventures et par là suivre une belle
leçon de survie (de Matt Damon lui même mais aussi de la nation
américaine).
Nos amis Belle et Sébastien sont de retour dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater 2 avant-premières
exceptionnelles! Plus qu'une le Mercredi 11 novembre 17h30.
Biopic sur le funambule français Philippe Petit, The Walk, est un film aux multiples facettes. En effet, utilisant les derniers moyens technologiques, Robert Zemeckis filme avec un budget digne d'un blockbuster pour raconter une histoire qui n'est pas le genre de ces derniers. Le résultat est à couper le souffle (à voir en 3D!)
Bluffant et vertigineux.
Julie Delpy signe une vraie comédie populaire avec Lolo, son meilleur film jusque ici. Captant l'air du temps, ne refusant pas des dialogues crus et salés et très bien interprété, ce film emporte tout sur son passage.
Un film à la bonne humeur communicative et à l’énergie débordante.
Kore-Eda revient avec un film sur une de ses thématiques préférées: la famille. Notre petite sœur nous fait pénétrer dans une petite communauté (3 sœurs recueillent leur demi-sœur d'un père qui les a abandonné 14 ans auparavant) où loin du sensationnel on partage leur vie et moments de tous les jours. Kore-Eda arrive, pourtant et d’emblée, à nous toucher au point que l'on voudrait immédiatement partager ces moment-là.
Kore-Eda offre un film bouleversant, tout d’élégance et de délicatesse.(LedauphinéLibéré)
Nos amis Belle et Sébastien sont de retour dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater 2 avant-premières
exceptionnelles!
Dimanche 01 novembre 17h30
Mercredi 11 novembre 17h30
Un film de Woody Allen est à la fois un rendez vous régulier (il en sort un par an) et toujours un événement. Surtout que l'homme irrationnel
renoue avec la veine noir du réalisateur... En effet, commençant comme
une comédie universitaire efficace et spirituelle emmenée par un
séduisant duo d'acteurs, le film prend peu à peu un virage vers une
noirceur cynique très jouissive!
Mon roi, le nouveau film de Maiween (Polisse),
déploie une énergie rare... La réalisatrice y raconte la passion
destructrice d'une jeune femme pour un mauvais garçon. Les acteurs
participent beaucoup à cette sensation d'intensité, Vincent Cassel et
Emmanuelle Bercot sont impressionnants.
Un film tellement ancré dans le quotidien et pourtant si sensible.
Reprenant le personnage et l'histoire de Pan mais en nous proposant un nouveau regard sur l'origine des personnages légendaires, cette nouvelle superproduction nous en met plein les yeux. C'est le film d'aventure parfait à voir en famille, un film plein de merveilleux et de fantaisie soutenus par de nombreux effets spéciaux.
Seul sur mars est un film qui fait beaucoup parler. En effet, suivant Gravity et Interstellar, c'est la troisième grosse production de ces dernières années sur "l'aventure spatiale". Cette fois-ci, Ridley Scott est au commande et Matt Damon en est l'interprète principal. Ce dernier interprète, avec brio et optimiste, une sorte de Robinson Crusoé de l'espace. On se laisse alors embarquer à suivre ses aventures et par là suivre une belle leçon de survie (de Matt Damon lui même mais aussi de la nation américaine).
Vin Diesel est de retour dans un film de série B bourré d'action: le dernier chasseur de sorcières. Un film de pur divertissement...
Un film très actuel (et qui fait lien avec nos événements de la Semaine de la Solidarité Internationale), La glace et le ciel
offre un témoignage important sur le réchauffement climatique et la
catastrophe écologique qui menace. De plus, le film est magnifique,
mélangeant images d'archives et de prises de vues actuelles.
Un beau voyage sur notre magnifique planète terre.
Philippe Faucon, confirme son talent avec son dernier film, Fatima.
Un film "sacrement" délicat. Un film resserré (1h19) fait sans
spectaculaire mais un portrait de femme dans son quotidien bouleversent.
Inspiré du recueil de Fatima Elayoubi, "Prière à la lune" (Bachari,
2006), ce long métrage, fait d'une multitude de petites touches, dessine
la vie (extra)ordinaire de toutes ces personnes invisibles.
Le second volet du Labyrinthe séduit toujours.Ce dernier
nous sert une belle intrigue et ne tombe pas dans les pièges suivis par
de nombreux films de ce type.
Efficace, trépidant et bien rythmé!
Petites casseroles est un film tout doux composé de
plusieurs courts métrages. Ces derniers ont comme thématique: L'enfance,
une aventure au quotidien... Ils sont variés dans leur forme et dans
leur fond et tous de qualité.
A partir de 3 ans.
Les plus petits d'entre nous ont aussi le droit de regarder des films d'actions! Venez découvrir en SORTIE NATIONALE, la course du siècle.
Un film d'une heure qui nous fera suivre le Petit Corbeau Chaussette
dans une course de voiture pour sauver tous les animaux de la forêt. A partir de 4 ans.
Un film très actuel (et qui fait lien avec nos événements de la Semaine de la Solidarité Internationale), La glace et le ciel offre un témoignage important sur le réchauffement climatique et la catastrophe écologique qui menace. De plus, le film est magnifique, mélangeant images d'archives et de prises de vues actuelles.
Un beau voyage sur notre magnifique planète terre.
Spécial Halloween: Massacre à la tronçonneuse (l'original bien sur!) en version française.
Un film de Woody Allen est à la fois un rendez vous régulier (il en sort un par an) et toujours un événement. Surtout que l'homme irrationnel renoue avec la veine noir du réalisateur... En effet, commençant comme une comédie universitaire efficace et spirituelle emmenée par un séduisant duo d'acteurs, le film prend peu à peu un virage vers une noirceur cynique très jouissive!
Quel bonheur de voir ce cinéaste toujours aussi inventif. Qu'il s'agisse
du scénario, qu'il a écrit, de la réalisation, qu'il assume, quel
talent ! "L'Homme irrationnel" est une perle.
(CultureBox)
Jean-Paul Rappeneau (83 ans) signe avec son dernier film
(12 ans après le précédant) une comédie sophistiquée. Mélangeant sujets
actuels (famille, couple), il propose une réflexion profonde sur ces
derniers sans jamais oublié le rire et le style! Le tout servis par
d'excellents acteurs: d’André Dussollier à Marine Vacth en passant par
Gilles Lellouche et Karin Viard.
Nos amis Belle et Sébastien sont de retour dans de nouvelles
aventures... et vous ne voudriez pas rater 2 avant-premières
exceptionnelles!
Dimanche 01 novembre 17h30
Mercredi 11 novembre 17h30
Mon roi, le nouveau film de Maiween (Polisse), déploie une énergie rare... La réalisatrice y raconte la passion destructrice d'une jeune femme pour un mauvais garçon. Les acteurs participent beaucoup à cette sensation d'intensité, Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sont impressionnants.
Un film tellement ancré dans le quotidien et pourtant si sensible.
Venez vous faire peur avec un film culte et terrifiant...
Popcorn offert!
“Massacre à la tronçonneuse” : 8 raisons de revoir ce chef-d’œuvre de l’horreur
Il
y a quarante ans, le réalisateur Tobe Hooper inventait un nouveau genre
de film d'horreur, le “slasher”. A Cannes, la Quinzaine des
réalisateurs a eu la bonne idée de fêter cet anniversaire en projetant
une version restaurée du cultissime et éprouvant “Massacre à la
tronçonneuse”, en attendant une ressortie en salles en octobre.
C'est sans doute le plus grand film
d'horreur de l'histoire du cinéma. Et le plus controversé. Une oeuvre
profonde et viscérale pour les uns, un film gore et nauséabond pour les
autres. Quarante ans après, l'expérience est toujours aussi éprouvante
et les spectateurs de Massacre à la tronçonneuse, irréconciliables. Le réalisateur danois Nicolas Winding Refn, qui l'a découvert à 14 ans, ne s'en est jamais remis : « J'ai eu un choc esthétique comparable à celui qu'ont connu mes parents devant A bout de souffle, en 1960. Pour la première fois, un film m'apparaissait comme une véritable œuvre d'art. »nous disait-il en 2010.
Pourquoi cette histoire de jeunes gens tombés dans les griffes d'une
famille de cannibales texans continue-t-elle de fasciner autant les
cinéphiles ? Qu'est-ce qui différencie ce film d'épouvante des centaines
d'autres tournés avant et après lui ? Voici huit raisons pour expliquer
le culte.
Un calvaire inspiré de faits réels
« Le film que vous allez voir relate la tragédie que vécut un
groupe de cinq jeunes gens, en particulier Sally Hardesty et son frère
invalide Franklin. (…) Pour eux, une balade par un après-midi d'été
idyllique devint un cauchemar. Les événements de cette journée devaient
mener à la découverte de l'un des crimes les plus bizarres des annales
de l'histoire américaine, The Texas Chainsaw Massacre. » Le film de Tobe Hooper s'ouvre
par ce carton qui prétend que le calvaire vécu par Sally Hardesty et
ses amis est bien réel. Ce qui deviendra par la suite une convention
dans le genre, pour foutre encore plus les jetons. En réalité, le
personnage de Leatherface s'inspire d'Ed Gein, « le boucher du
Wisconsin », profanateur de tombes et meurtrier de femmes, arrêté en
1957, qui décorait sa maison des restes de ses victimes. Ce tueur en
série servit aussi de modèle à d'autres cinéastes, notamment à Hitchcock
pour Psychose et à Jonathan Demme pour Le Silence des agneaux.
Un tournage infernal
« C'est malsain. Nous travaillons sur un film malsain et nous
devenons malades. Nous avons tous un sentiment de dégoût par rapport à
nous-mêmes. » Dottie Pearl, la maquilleuse, a été, comme toute
l'équipe, traumatisée par les six éprouvantes semaines de tournage. Dans
la ferme isolée près de la ville de Round Rock, Texas, au plus chaud de
l'été 1973, les températures dépassent les 40 degrés tous les jours,
avec 98 % d'humidité. Un soleil brûlant, des insectes, des moustiques,
des fourmis, un seul WC pour quarante personnes... Faute d'argent, une
douzaine de techniciens effectuent le travail de cinquante. Avec parfois
des journées de vingt-deux heures de tournage d'affilée et un seul
repas. Sans parler de la puanteur des os et des peaux en décomposition
qui décoraient la maison du tueur. Les relations entre les acteurs
furent exécrables. Gunnar Hansen, qui interprète Leatherface, avait
décidé de ne jamais adresser la parole aux autres afin de conserver son
aura. Pour conditionner les acteurs et entretenir cette atmosphère de
violence et de peur, Tobe Hooper hurlait entre les prises, brisait des
objets comme sous l'emprise d'une colère permanente. Couverte de plaies,
l'actrice principale a frôlé la dépression. Et ne retournera quasiment
plus aucun film.
Le parrain des slashers
Même si certains font démarrer le genre en 1960 avec Psychose, c'est véritablement le film de Tobe Hooper qui donnera à ce sous-genre du film d'horreur ses lettres de noblesse. Dans un slasher (to slash
: taillader), un tueur psychopathe réduit à néant le casting à l'aide
d'une arme tranchante : couteau, machette, ciseau à bois ou
tronçonneuse. Et sa dernière victime est souvent une jeune femme à
moitié nue. Les bases du slasher sont donc posées par Massacre, avant d'être copiées, parodiées et finalement épuisées par des générations de cinéastes plus ou moins doués. Wes Craven (Freddy, Scream) et John Carpenter (Halloween) font également partie des pionniers.
La touche expérimentale sous la série B
Jeune diplômé de l'Université du Texas, Tobe Hooper n'a que 28 ans lorsqu'il entreprend le tournage de Massacre à la tronçonneuse. Mais déjà dix ans d'expérience de monteur et de chef opérateur pour la télévision et un film expérimental à son actif, Eggshells,
succession d'effets visuels psychédéliques simulant un trip sous LSD.
C'est donc un excellent technicien doublé d'un grand cinéphile (il
apprécie aussi bien Minnelli que Stan Brakhage) qui, face à l'échec de
son premier long métrage, décide de réaliser un film de genre mais ultra
travaillé. De façon à séduire le public mais sans renier son style. La
scène d'ouverture, alternance de gros plans tantôt lumineux tantôt
charbonneux sur des cadavres en lambeaux affiche d'emblée une ambition
inhabituelle dans un film d'horreur.
Une sortie chamboulée par des aléas de production et la censure
Après avoir essuyé de nombreux refus de la part de distributeurs
effrayés par la violence malsaine du film, la production vend les droits
de Massacre au richissime producteur de Gorge Profonde.
Ce qui permet d'enfin payer les techniciens et les acteurs. Le film
sort en 1974 et engrangera 600 000 dollars de recettes en quatre jours
et vingt millions de dollars en deux ans. Mais le producteur s'évanouit
dans la nature avec l'argent. Une guerre judiciaire de plusieurs années
s'engage. Ce n'est qu'en 1981 que le film rapportera enfin de l'argent à
ceux qui l'ont conçu. Bien qu'il ait obtenu le prix de la critique au
Festival du film fantastique d'Avoriaz en 1976, Massacre, jugé
trop sadique par la commission de contrôle, ne sortira définitivement en
France qu'en mai 1982, avec une interdiction aux moins de 18 ans.
D'autres pays se montrent encore plus sévères avec le film, qui ne sort
en Finlande qu'en 1996 et trois ans plus tard au Royaume-Uni.
Un western dégénéré
Avec sa musique country, son shérif à chapeau de cowboy, ses
abattoirs fermés, ses adolescents transformés en bétail, sa maison
abandonnée et le Texas pour décor, Massacre est hanté par le
souvenir de l'Amérique des pionniers. On imagine très bien les ancêtres
de Leatherface convoyant les troupeaux et marquant au fer leurs bêtes.
Sally, l'héroïne kidnappée par les rednecks cannibales renvoie à Debbie,
la jeune fille enlevée par les Indiens dans La Prisonnière du désert, de John Ford. Sauf que John Wayne n'est plus là pour venir la sauver.
Une critique sévère de l'Amérique des années 70
Leatherface, le rejeton tronçonneur d'une famille de bouchers texans
au chômage a été perçu, en 1974, comme le symbole d'une société malade
qui envoyait sa jeunesse se faire massacrer au Vietnam. Comme la plupart
des grands films de cette prolifique décennie, Massacre expose
l'envers du rêve américain et dénonce le pourrissement des
institutions, qui a commencé avec les assassinats politiques des années
60 (Kennedy, King) et s'achève par le scandale du Watergate. Dans la
première scène, on y déterre des cadavres au cimetière : c'est le passé
génocidaire de l'Amérique qui ressurgit. Film d'horreur ou pas, Massacre est à ranger du Délivrance, de Boorman ou du Taxi Driver, de Scorsese.
Tobe Hooper, l'homme d'un seul film
La créateur de Massacre ne s'est jamais vraiment remis du
succès de son chef-d'oeuvre. Aucun de ses films suivants ne lui arrive à
la rotule. En 1976, avec la même équipe, il tourneLe Crocodile de la mort, variation gore sur le Psychose d'Hitchcock
avec motel, propriétaire toqué et crocodile pour faire disparaître les
clients imprudents. En 1982, Spielberg co-écrit et produit son décevant Poltergeist.
Dans les années 80, sous contrat avec la Cannon Films, Hooper se
spécialise dans les remakes et les suites de films d'exploitation sans
grand intérêt (dont Massacre à la tronçonneuse 2).
Aujourd'hui âgé de 71 ans, il continue à réaliser des films d'horreur.
Sans trop y croire. Et il voyage dans le monde entier pour présenter Massacre, qui ressortira en France en version restaurée le 30 octobre.